Bonjour Consigne : Créer une scène de théâtre en vous inspirant de Médée de Corneille Acte I scène 1 . Le coup de pouce ( photo ) . Continuer la suite jusqu'à
Question
Consigne :
Créer une scène de théâtre en vous inspirant de Médée de Corneille Acte I scène 1 . Le coup de pouce ( photo ) .
Continuer la suite jusqu'à le vers 58 "arriver" . J'ai souligné ce que j'ai fait vous faites le reste .
POLLUX.
Mais qui vois-je à l’horizon ? Serait-ce Jason ?
Je vous découvre enfin sous le soleil de plomb
JASON :
Me voilà en personne et plus seul que jamais !
Je pense que mon problème est enfin réglé
POLLUX.
Quoi ! Médée est donc morte, ami ?
Se peut-il que Médée nous ait enfin quitté ?
JASON.
Hélas non cette dernière est toujours en vie.
POLLUX.
Et vous, grand Jason, ne la redoutez-vous pas ?
JASON.
Et que fit Hypsipyle,
Pas le moins du monde, elle n’est en rien un problème !
Elle m’a chassé en vociférant des blasphèmes,
Mais rien ne me fera douter de ce que j’aime
Plus exactement de l’autre fille que j’aime
(Ah Créuse ma bien-aimé, bientôt nos deux âmes vont se retrouver et jamais plus nous ne nous quitterons) : Jason à lui-même
Merci
1 Réponse
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1. Réponse Unseen
POLLUX :
Qui est donc cette demoiselle
Qui au détour d'un couloir votre coeur a pris entre ses ailes
Sans même se soucier de si déjà vous l'aviez
A une autre dame éternellement accordé.
Jason qui toujours ses amantes,
Sans remords et sans peur de l'infamante
Sa passion tourmente.
Mais n'a-t-il pas peur que Médée
De jalousie dévastée, ne laisse éclater sa cruauté
Ne commette l'irréparable
Et que l'idolâtrie qu'à la douce Créuse il portait
A la mort escorterait ?
Car l'amour n'est-il pas un péché
Pour lequel vous ne pouvez céder
JASON :
Qu'auriez vous donc fait sans mon amour
Qui a accroît ma bravoure,
Lorsque je ramenais la toison d'or
Triomphant dans le port.
Qui m'a guidé jusqu'à Médée,
Dont la cruauté nous a tous sauvés.
Maintenant que je ne peux rentrer au pays
C'est de Créuse que mon coeur s'est épris.
Et dans ses bras
POLLUX :
Ne parlez pas d'exil,
La haine de Pélie vous laissera à jamais tranquille,
Car son trépas, le détrôna
Et sa cruauté plus jamais ne vous inquiétera
JASON :
Je me dois de sa Thessalie m'éloigner
POLLUX :
Il n'est plus de ce monde,
Et son âme vagabonde
Dans les confins des enfers
JASON :
Je ne peux vous expliquer
Que ce trépas m'oblige à m'éloigner
De cette terre maudite
L'ombre fantomatique
Me guide vers l'asie
Sous le regard de Neptune
Qui veillera à ma bonne fortune